Les Aventures De Dje Ep 78 : Dans Les Bras D'Antoine
LES AVENTURES DE DJE
Ep 78 : DANS LES BRAS D'ANTOINE
Par la suite je voyais plus régulièrement Florian, il nous avait trouvé Bob et moi et ne voulait plus nous lâcher. Il devenait un habitué à nos soirées. Vous n'avez pas oublié que trois fois par semaines on organisait un repas. On y mangeait divinement, Charles est un
pardon
Le traiteur est un très bon traiteur
Je déconne, Charles cuisine divinement et si quelquefois on faisait appel à un traiteur ce n'était que pour des raisons pratiques.
De fait Florian devenait plus populaire, ces soirées sont très convoitées. Y être reçu est vu comme un honneur, nous tenions toujours une liste des participants pour que tous mes proches puissent participer chacun leurs tours, mais ceux qui y participaient régulièrement étaient repérés. Quelquefois enviés mais jamais jalousés, enfin j'espère
Un soir que nous étions entre nous, en plein repas Luc se levait, il avait depuis le midi un grand sourire réjoui. On remarquait tous que quelque chose se passait. Je lançais un regard interrogateur en direction de Bob qui me faisait signe qu'il ne savait rien. Luc appelait Charles lui demandant d'être présent.
Charles : Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé celui-là ?
Moi : Luc tu me fais peur !
Luc : Non mais c'est fini les moqueries là. Je ne suis plus un gamin j'ai dix huit ans passés. Vous feriez mieux d'écouter ce que j'ai à vous dire
Il nous regardait tous les uns après les autres, plus personne ne parlait.
Luc : Bon ! Voilà qui est mieux ! J'espère que mes collaborateurs seront aussi attentif quand j'organiserai des réunions
Charles : Collaborateurs ( tout bas )
Antoine : Organiserai ( tout bas )
Moi : Réunions ( très fort mais dans ma tête )
Bob regardait son copain sans comprendre la bouche ouverte
Luc : C'est fini là les commentaires ! Bon je reprends.
Il se rasseyais et tendais son assiette à Charles, qui machinalement partait dans la cuisine et ramenait une nouvelle part de ce lapin chasseur qui je dois le reconnaître était absolument merveilleux !
On regardait tous Luc en se demandant ce que tout cela signifiait. De quoi il parle, il pourrait nous en dire plus
Luc : Bein quoi ? Ça vous défrise que je produise une émission télé. C'est en partenariat avec la fac, j'y vais tous les matins.
Luc : Ne me dites pas que vous n'êtes pas au courant, vous me faites surveiller, depuis le début de l'année scolaire
Charles tu cuisines décidément comme un dieu mais pour ce qui est des filatures
Tu es nul !
Il nous avait repéré mais il le prenait bien finalement !
Bob : Mais pourquoi tu ne m'as rien dit à moi ?
Luc : Tu aurais tout répété mon doudou. Mais je t'aime quand même !
Antoine : Et ça va se passer comment alors ?
Luc : Le matin je serai surtout à la fac, en fin de matinée aux studios télé. Au fait Charles le midi je dînerai désormais soit aux studio soit à la fac, j'ai une entrée pour les deux réfectoires
On n'y mange pas si bien qu'ici, mais ce sera plus pratique ! Dans l'après midi je fais du sport, j'ai le privilège de pouvoir utiliser les installations sportives de la fac, la bibliothèque aussi tout comme la médiathèque. Dans la soirée je me retrouve aux studios ou je fais en direct mon émission.
Antoine : Cool !
Plus personne ne prononçais le moindre mot ! Quand on sortait de table, on était tous un peu sonnés.
Antoine : Mais dis moi Luc
Si ton truc ça marche
Tu vas gagné combien ?
Luc : Pas loin d'un demi million par an !
Antoine : La vache ! ( et se retournant vers moi ) Tu as entendu ça Djé, il s'en sors bien le p'tit ! Mais c'est qu'il devient grand !
Je rigolais !
Antoine : Bientôt il va quitter la maison, il volera de ses propres ailes, il viendra nous voir une fois par an quand il aura le temps après nous avoir placé dans un hospice
Luc : Mais tu as fini de dire n'importe quoi toi ?
On avait tout de même du mal à réaliser qu'il avait réussi à garder un tel secret, préparer un projet pareil sans rien dire à personne
Il devenait mature le p'tit ! Et c'est vrai que si son projet marchait, il deviendrait largement autonome.
Après cette soirée pleine de surprises la vie reprenait son cours normal. Il fallait s'organiser un peu et Luc n'était plus présent tous les soirs pour le souper, Bob non plus. Les horaires posaient quelquefois problème, et le plus souvent quand il ne pouvait pas être là il invitait son copain Bob au restaurant. Surtout que Bob travaillait aussi comme assistant au studio. On l'apercevait dans un petit coin de l'écran de temps en temps.
Luc était aux anges, il oubliait rapidement le refus qu'on avait opposé à son entrée en fac. Bob ne me cachait pas qu'il trouvait cette nouvelle vie passionnante, la vieille il avait rencontré un écrivain très connu, la semaine à venir ils allaient inviter un metteur en scène
Il travaillaient comme des fous, mais semblaient totalement heureux et épanouis.
De notre côté avec Antoine, on continuait nos études tranquillement. En ce début d'année scolaire la société PK ouvrait de nouveaux marchés, tout particulièrement sur le continent asiatique qui jusque là ne l'avait pas très bien reçu. En gros ce nouveau marché devrait doubler le chiffre d'affaire
Et nos revenus étaient justement liés au chiffre d'affaire
La société venait aussi de gagner un procès contre un concurrent qui avait honteusement plagié notre modèle breveté
Le concurrent n'y avait pas survécu, Justine ( notre avocate ) avait arrosé ça au champagne, la PK Compagnie prenait donc la place du concurrent sur son marcher et là encore le chiffre d'affaire augmentait
Nous recevions aussi un chèque de dédommagement pour le plagiat. C'est qu'on a des droits sur l'invention !
Antoine : Tu as vu Djé le chèque de dédommagement, moi je le trouve tout triste
Moi : Mais pourquoi tu dis ça ?
Antoine : Il n'y a que cinq zéros dessus !
Moi : Mais c'est vrai ça, tu as raison, d'habitude sur les chèques qu'on nous donne il y en a six !
Ce petit commentaire que nous échangions résume bien notre situation ! Je ne savais plus vraiment combien d'argent j'avais mais je m'en moquais, je savais que j'étais plein aux as et qu'il y avait Justine qui veillait à mes intérêts, et je savais que celui qui s'en prendrait aux intérêts de ses clients prenait un gros risque
Avec la réputation de notre avocate personne n'oserait !
On avait travaillé comme des fous, pendant tout le premier trimestre, les premières vacances approchaient, un soir, Antoine et moi étions seuls à la maison. Les p'tits étaient au restaurant puis de sortie, Luc ne me demandait plus ma carte de crédit pour sortir
Charles était absent pour la soirée et pour une fois depuis deux bons mois on ne faisait rien. Mais quand je dis rien
Antoine était vautré comme un gros lard sur le fauteuil et je faisait de même sur l'autre fauteuil.
Antoine : Dis moi Djé, ça fait combien de temps, la dernière fois qu'on s'est gardé une soirée comme ça, à ne rien faire ?
Moi : Je ne sais pas, je ne sais plus. J'ai l'impression que ça fait des années
Antoine : Si on n'avait pas décidé d'être tous ensemble pour le souper, il y a des jours ou on ne se verrait même pas.
Moi : Tous ensemble ?
Antoine : C'est vrai que les p'tits sont là de moins en moins souvent
Moi : Sans Charles je ne sais pas ce que cette famille deviendrait.
Il se relevait se plaçait juste devant moi, les jambes écartées.
Antoine : Mais dis moi Djé, je ne sais pas si c'est une impression mais
Ça fait un moment que je ne t'ai vu avec personne. Tu as un copain en ce moment ?
Moi : Non ! Et toi ?
Antoine : Pareil ! Une copine alors ?
Moi : Non plus ! Je ne te vois avec personne non plus !
Antoine : C'est comme toi, en se moment je bosse tout le temps. Je ne sais pas si j'ai bien fait de m'orienter ver l'ingénierie.
Moi : C'est la conception du dispositif de chasteté qui a révélé ta vocation.
Antoine : Oui mais c'est pas si facile, j'aurais du faire comme toi rester dans le domaine de la gestion.
Moi : Et du droit
Antoine : Au fait tu savais que Léa est de retour dans la région ?
Moi : Léa ! Son nouveau copain a fait faillite ?
Antoine : Ou alors elle a appris que tu n'as jamais été aussi riche que maintenant !
Moi : C'est son genre !
Antoine : Il n'a pas pu faire faillite, c'est un banquier, ça ne fait pas faillite un banquier. Ses clients je ne dis pas mais un banquier
Moi : Et en plus Jonathan est monté comme un âne !
Antoine : Tu le connais ? Il s'appelle Jonathan en effet !
Moi : Si c'est celui auquel je pense, c'est une des ses ex !
Antoine : Et il est monté comme un âne ton Jonathan ?
Il se tortillait devant moi et si je ne le connaissais pas aussi bien j'aurais pensé qu'il voulait m'allumer.
Moi : A quoi tu penses ?
Maintenant il se caressait les cuisses, le ventre et le torse. Oui bon finalement il voulait m'allumer !
Antoine : Gode ?
Je me levais brusquement, lui passais un bras autour de lui, lui donnais un baiser sur la bouche et disparaissait dans ma chambre. J'en ressortais quelques instants plus tard avec un gros carton dans les mains. Il se retournait, continuait à se caresser, un peu comme un strip-teaser, il me faisait rire. J'ouvrais, tout un tas de godes en tombait.
Antoine éclatait de rire.
Antoine : Ça fait un moment que je n'ai pas touché aux miens .
Il arrêtait de faire le clown, et se précipitait, il en attrapait un, un gros, on connais ses goûts !
Moi : J'avais un truc génial que Léa avait acheté, il est pas là, je ne sais plus ce que j'en ai fait
( je cherchais dans le carton )
Antoine : Celui là il est bien ! Ça ne te tente pas ?
On se relevait ensemble, chacun un gode dans la main, on se touchait presque, j'étais comme attiré vers lui. Ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas pris dans les bras comme on le faisait là. On s'était vu à poil sous les douches presque tous les jours mais ça faisait je ne sais plus combien de mois qu'on ne s'était pas touché.
Je le serrais contre moi et je me souvenais de la douceur et de la force de son corps. A cet instant je vous jure que j'aurais fait n'importe quoi pour retirer mon dispositif. Je le sentais fort ce truc à ce moment et si le plus souvent je le supportais bien, si le plus souvent je ne voulais pas le retirer, là ce n'était pas le cas. À cet instant je voulais le retirer comme jamais.
Quelques secondes plus tard je redécouvrais la peau d'Antoine, sa douceur. Mes mains s'arrêtaient juste à sa ceinture, je n'osais pas aller plus bas, je me souvenais de sa bite, une belle grosse bite que j'avais pris dans dans le cul avec tellement de plaisir. Je savais que là il y avait un dispositif de frustration. Mon cur battait plus fort à chaque seconde.
Je sentais la douceur de ses lèvres qui se promenaient contre ma peau, je connaissais cette douceur et je me demandais comment j'avais pu l'oublier, ça fait maintenant plusieurs années que je vis avec lui pourtant nous ne nous touchons plus. On s'amuse chacun de notre côté. Ma queue voulait se dégager, et elle poussait contre ma cage comme jamais.
Ma hanche frôlait son entre jambe, et je pouvais constater qu'il était dans le même état que moi. Sa cage se relevait et on pouvait la sentir au travers de son pantalon, ça ne faisait qu'augmenter mon désir. Je le tirais vers moi, je me serrais contre lui. Entre nous un obstacle blindé prenait toute la place, nos deux dispositifs étaient là comme deux entraves, deux barrières infranchissables.
Mon pantalon tombait mais il y avait toujours ces deux barricades qui suivaient nos moindres mouvement, elles occupaient notre esprit et toutes nos pensées. Ses épaules étaient douces, ses bras étaient forts, son torse était musclé, son ventre était ferme, ses fesses sensuelles au travers de son pantalon. Entre nous cet obstacle ! Face à face nous nous retenions, puis il me tirait, me retournait contre lui, il me tenait serré, je passais ma main dans mon dos pour toujours toucher sa peau. Il me caressait alors le torse, le ventre, ses mains descendaient mais évitaient de toucher ma cage.
Ses doigt se promenaient à la base de mon sexe, sur le cock-ring de fixation, se glissaient entre mes cuisses. Je sentais ses baisers dans mon dos, sur mes épaules. Je sentais la pression intense dans ma cage, j'avais envie de me branler, de me faire sucer
J'avais un violent envie de défoncer un cul !
Je me retournais lui faisais face à nouveau. C'est lui qui maintenant se retournait, il semblait danser entre mes bras. A mon tour je l'embrassais dans le dos, il le sentais frissonner, sur les épaules
Il penchait alors sa tête sur mon épaules et je l'embrassais dans le cou, sur la gorge
Mes mains se promenaient sur tout son corps, elles arrivaient à sa ceinture
J'hésitais je savais que je serais déçu mais, je glissais mes doigts sous sa ceinture, j'ouvrais son pantalon qui tombait sur ses chevilles. Il se dégageait les pieds et je lui caressait sa cage de chasteté. Doucement je lui massais les couilles, elles étaient ferme, elle devaient être bien pleine, tout comme moi !
Il se retournais contre moi, nos deux cages se cognaient l'une à l'autre en faisant un bruit métallique. Il prenait un gode ceinture avec un beau gros gode, pas le plus gros mais de très belle taille qu'il me donnait, il en prenait un identique qu'il se fixais. Son visage était grave, il fronçait les sourcilles au moment ou il ajustais le gode ceinture.
On se regardait, on respirait fort tous les deux. Je ne sais pas lequel à fait un geste, un regard peut être
En tous cas c'est en même temps qu'on réagissait, on se sautait dessus l'un l'autre.
Antoine : Retourne toi !
Je m'exécutais. Il me saisissait avec force, me lubrifiait le cul, positionnait son gode, et c'est avec douceur qu'il poussait et que le dispositif entrait lentement dans mon cul. J'avais pas refait ça depuis les vacances, presque trois plus tôt, quand je dis '' refais ça '' je veux dire que je ne m'étais pas fait enculer.
Je hurlais, la sensation était intense, le sentais mon anus se dilater, je sentais mon cul se remplir. C'était à la fois bon, terriblement bon et un peu douloureux. Je jutais instantanément, un flot de sperme coulait lentement mais coulait longtemps de ma PK. Je continuais en gémissant, en poussant une longue plainte. Je sentais le souffle d'Antoine contre mon oreille, il râlait, pas vraiment de plaisir, il ne ressentait rien sa bite était en plastique. Mais il râlait, il était concentré, ses muscles étaient contractés, chacun de ses mouvements était contrôlé. Il surveillait la moindre de mes réactions et moi je suffoquais, j'avais la bouche grande ouverte mais c'est un son à peine audible qui en sortait.
Il me limait le cul pendant un long moment, me caressais longuement, avec force, avec douceur
Il finissait par se retirer, je m'effondrais sur le fauteuil. Il était en sueur, il avait le souffle fort. Moi je ne sais pas comment j'étais mais je ne valais pas mieux que lui ! Je récupérais !
Un peu plus tard, je me relevais, me plaçais face à lui, les jambes écartées, la bite en plastique fièrement relevée devant moi
Moi : Retourne toi !
Il me jetais un il rieur, se retournait et se penchait sur le fauteuil, son cul bien offert. A mon tour j'enfonçais le gode dans son cul. Il hurlait un '' OH OUI ! '' au moment ou le gode s'engageait, le gland un peu plus large, cinq bon centimètres, passait rapidement puis il gémissait à son tour. Il encaissait mieux que moi le bonhomme. Rapidement mon ventre, enfin le harnais, frappait ses fesses et il en redemandait. J'avais presque oublié combien il aimait ça mon petit Antoine.
Je le limais avec régularité, je me souvenais de cette époque ou nous étions libres, avant de faire le mur pour entrer au Château. C'est vrai que maintenant nous avons nos entrées au Château
A cette époque on s'amusait bien, on n'avait pas besoin de ces gadgets pour se défoncer le cul, on faisait ça en direct.
Il finissait par demander grâce, je me retirais, il s'écroulait sur le sol, se retournais, je pouvais voir un long filet de sperme couler de son dispositif de chasteté.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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